La médecine de demain est en train de s’imposer grâce à MedTech. Tout le monde qui est conscient du progrès technologique stimulé par MedTech  semble être convaincu de l’espoir que provoque la médecine qui sauve  des vies.

Que représente effectivement cette médecine de demain ?

Grosso Modo, la MedTech  est l’ensemble des technologies et des instruments destinés à sauver des vies de patients qui souffrent de diverses pathologies. Selon le classement des concepteurs et administrateurs de MedTech, il existe 16 catégories de technologies qui sont composées environ de 500.000 éléments médicaux. Pour être plus simpliste, la MedTech désigne tout ce qui est outil et technologie pour soigner les malades, à savoir par exemple les seringues, les tests de grossesses, les fauteuils roulants, les prothèses orthopédiques, etc. et pour les plus sophistiqués comme les respirateurs artificiels, les organes artificiels, les robots médecins, etc.
La technologie pour avancer la médecine date déjà des millénaires, et internet permet une démocratisation des informations sur des sites et des blogs comme medecin-digital.fr par exemple. Mais la révolution numérique permet à MedTech d’exploiter l’intelligence artificielle pour avancer encore plus vite et plus efficacement.

Ces startups ne cessent d’améliorer leurs exploits

Seulement en Europe, l’on a identifié plus de 250.000 startups membres actifs de MedTech. Seulement en France, plus de 50.000 collaborateurs travaillent dans ce secteur engendrant ainsi plus 55 milliards de chiffre d’affaire tous les ans. L’amélioration des exploits est matérialisée par le dépôt de demandes de brevet dans le domaine de la MedTech. A noter que l’objectif commun à ces startups est d’inventer la médecine du futur en se préparant aux questions éventuelles et futures des patients, des clients et des partenaires. Peut-on penser que les cancers vont disparaitre une bonne fois pour toute d’ici peu, basés sur MedTech et sur les convictions de ces jeunes entreprises inassouvies des progrès et de la technologie. Impossible n’est pas français, selon le dicton qui court.